Le 15 novembre dernier, la Commission européenne a lancé un débat public dont l’objectif est de déterminer l’avenir du regroupement familial au sein de l’Union européenne (UE). Dans un contexte de politiques nationales sous pression, les scenarii semblent plutôt pessimistes.
La directive relative au droit au regroupement familial (2003) fut le premier instrument législatif sur l’immigration légale adopté au niveau européen. Reconnaissant que « le regroupement familial est un moyen nécessaire pour permettre la vie en famille », l’objectif premier de ce texte était de promouvoir « une stabilité socioculturelle facilitant l’intégration des ressortissants de pays tiers dans les États membres ». La directive donne ainsi droit aux membres de la famille d’un étranger résidant dans l’Union de le rejoindre sous condition de résidence et pose un certain nombre de conditions facultatives telles que la preuve d’un logement adéquat, d’une assurance maladie, de ressources « stables, régulières et suffisantes » ou encore l’imposition de mesures d’intégration avant le depart pour les membres de la famille (…)
La Lettre de l’Observatoire de l’asile et des réfugiés n° 50
cool…Non?
Pas cool pour tout le monde, Edgard. Les conditions d’admissions se durcissent depuis 2007 sous l’influence grandissante des partis politiques d’extrême droite sans oublier le contexte politique actuel de l’Europe. Rien de bon au bout du tunnel, ou alors il faut bien puer le fric…
Dans le mil cher ami !!!
Et c’est pas cette bande de politicards du RDV de mai qui desserrera l’étau .
tout dit.